mardi 4 mars 2008

Wien

Nous sommes arrivés dans la capitale de la musique vendredi 22 février, vers 14h30. Affamés, nous nous sommes rués sur le premier Würstelstand, kiosque à saucisse venu. Ce n’est pas mon niveau d’allemand qui nous a permis de passer commande mais l’aide inespérée d’un autre client, professeur de musique de l’Université de Vienne, ayant vécu 10 ans en France. Trop heureux de pouvoir parler français et de partager sa culture de la ville, il nous a offert un tour guidé de Vienne. Nous l’avons donc suivi au cœur de Vienne, l’écoutant nous présenter les principaux édifices, tout en nous racontant brièvement l’histoire de la ville. Outre les constructions les plus célèbres, nous avons eu le privilège d’entrer dans un bâtiment inconnu du grand public à l’architecture travaillée : il s’agît maintenant de bureau de très haut standing (principalement d’avocat ou d’assurance) dont l’entrée n’est pas surveillée
Photo de l'immeuble :


Nous avons ensuite retrouvé Yoann, un ami de Nicolas, également en ‘Road-Trip’ à Vienne. Puis nous avons marché dans la capitale, sans direction précise. Rien de tel que de déambuler dans une ville pour la découvrir. Nous avons vu beaucoup de bâtiments à l’architecture imposante, sans nécessairement chercher à savoir ce qu’ils représentaient. Nous avons ensuite rejoins notre hôtel, sorte d’auberge de jeunesse. Le soir nous sommes allés, sur indication d’un réceptionniste, dans un bar à billard du centre ville. Enfin, le lendemain, nous avons à nouveau flâné dans Vienne, longé le Danube, parcouru les parcs, arpenté les avenues etc. avant de se décider à repartir, en début d’après-midi.


Que dire de Vienne ? Il s’agit d’une ville très dense architecturalement parlant, mais extérieurement on en a vite fait le tour. Beaucoup de luxueux palais et de grands édifices à l’architecture imposante mais, à mon goût, présentant peu d’originalité. Certes il est manifeste que la Vienne bénéficie d’un riche passé, mais ce n’est pas une ville qui m’a intrigué. Je pense que c’est à visiter une fois dans sa vie, mais ce n’est pas la ville ou je chercherais à revenir. Si je devais me souvenir d’une seule chose ? Ce maudit vent qui m'a arraché ma casquette à peine sorti de la voiture !


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